Agénésie pénienne
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46XY
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Pénis parfois de la taille d'un clitoris,
souvent sans corps caverneux, sans hypospadias, mais souvent aussi
avec dysgénésie testiculaire.
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Organes sexuels non-fonctionnels à la puberté.
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Elevés en
garçon, mais parfois aussi réassignés en filles chirurgicalement
à la naissance avec appoint d'hormones à la puberté et création
d'un néo-vagin.
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Money mentionne des cas où le fait d'apprendre
qu'il existe des techniques de réassignation sexuelle a créé le
désir d'y recourir.
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Déficit en 17-ceto-stéroïde-réductase
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Déficit en 5-alpha-réductase
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46XY
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Chez le mâle, manque l'enzyme qui transforme
la testostérone en dihydrotestostérone, et régule la genèse des
organes sexuels. Mais comme la testostérone est produite en quantité
normale par les testicules, on suppose qu'elle agit dans le cerveau,
et déclenche à la puberté une masculinisation physique et comportementale
(liée à la descente des testicules).
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Autosome récessif en général, mais peut-être
aussi mutation sporadique.
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Personnalité
masculine affirmée après la puberté, malgré une éducation en fille.
Mais sont-ils vraiment élevés par les parents (qui sont au courant
du syndrome) comme les filles qu'ils ont l'air d'être. D'autant
qu'on n'a pas de description de l'éventuelle anomalie morphologique
à la naissance.
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Sujet d'une polémique entre Imperato-MacGinley
et Money sur la préséance des hormones sur l'éducation et le milieu
: comme chez les "guevedoces", "guevote"
("pénis à 12 ans") et "machihembra" ("femme
puis homme") de la République dominicaine.
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Gynécomastie simple
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Désagrément
psychosocial, mais pas de remise en question de l'identité sexuelle
avec demande de réassignation. En revanche, sur les petits échantillons
observés, plus d'homosexuels que dans la moyenne.
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Hermaphroditisme mâle avec hypospadias et utérus
différencié
- 45XO/XY en mosaïque ou 46XY avec un segment
lésé sur le Y.
- Petite taille.
- Cas où c'est seulement d'un côté que le testicule
embryonnaire se développe.
- Développement interne masculin, mais pas externe.
- Morphotype évoquant celui des syndrome adrénogénitaux
ou du testicule féminisant avec hypospadias et seins.
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Développement en général dépendant du sexe d'élevage.
Quelques rares cas de demandes de réassignation.
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Dans des études
récentes sur les séquelles d'hypospadias opérés
(chez des intersexuels ou pas), on ne note pas de troubles particuliers
de l'orientation sexuelle; en revanche, plaintes sur la libido.
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Hermaphroditisme mâle avec hypospadias mais sans
utérus différencié
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Dans les
formes sévères, l'assignation à la naissance est impossible. Souvent,
chirurgie féminisante directement. Mais parfois, on a fait attendre
aux parents la puberté avec certains dommages psychiques pour
l'enfant.
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Hermaphroditisme mâle avec utérus et pénis normal
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Anomalie de l'embryogenèse qui ne touche que
les organes sexuels chez les 46XY.
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Déficit d'hormone inhibitrice dans le testicule
fœtal qui laisse se former l'utérus et les trompes de Fallope.
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Puberté masculine et fertilité possible.
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Hermaphroditisme
vrai
(très
rare, mais on ignore combien ne sont pas diagnostiqués)
-
46 XX dans la plupart des cas, quelques 46
XY, et de rarissimes "chimères", avec des cellules XX
et d’autres XY, probablement l'effet d’une fusion précoce de deux
embryons mâle et femelle lors de la gestation.
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A la fois des tissus testiculaires et ovariens,
mais les hormones ne sont probablement pas produites ensemble.
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Parfois, hermaphroditisme vrai latéral, avec
sein à la puberté du côté de l'ovaire et développement masculin
du côté du testicule.
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Sexe d'élevage déterminant. Rares
cas d'ambiguïté physique continuée dans le sexe d'élevage et l'identité
ambiguë consécutive; mais alors, déficits cognitifs.
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L'intelligence
est presque toujours normale, et l'apparence physique (la taille
) est régulière.
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Pseudo-hermaphrodisme androgynoïde (ou mâle)
-
46XY, deux testicules.
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Si le pénis apparent, hypospadias. La fente
du scrotum n'est pas toujours soudée, ce qui crée dans le type
vulviforme une cavité pseudo-vaginale de taille variable.
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Testicules ectopiques souvent différenciés
et normaux.
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Parfois dû au testicule féminisant, parfois
à un déficit en 5-alpha- réductase. Mais on ne sait en
général pas pourquoi les cellules qui devraient
être sensibles aux androgènes (qui sont effectivement
secrétés par les testicules) restent insensibles.
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C'est une maladie
familiale très rare.
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L’apparence est parfois idéalement
féminine (stature élancée, peau douce), quand il n’y a pas de
pénis apparent. Détecté à la puberté (pas de règles), rarement
expliqué aux patientes (on leur explique juste qu’elles seront
stériles). Souvent, on leur expliquait qu’on leur enlevait les
ovaires, alors que c’étaient les testicules (risque de cancer).
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Comme la puberté est masculine, c'est à ce moment
que se déclenchent les troubles psychologiques chez les sujets
élevés en filles.
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Posent de façon exemplaire le problème de la réassignation chirurgicale, quand le pénis est "trop
petit" : on peut alors féminiser leur apparence anatomique.
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Syndrome
adrénogénital mâle ou syndrome "de l'enfant Hercule"
- 46XY, deux testicules.
- Puberté extrêmement précoce (2-3 ans). Depuis
1950, on administre de la cortisone pour la prévenir.
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Pas d'observations pathologiques que je connaisse,
mais, outre la puberté hyper-précoce, l'hirsutisme, le surdéveloppement
précoce du pénis, les testicules de taille réduite et les problèmes
de taille devraient poser des difficultés psychiques considérables.
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Pseudo-hermaphrodisme gynandroïde (ou femelle):
syndrome adrénogénital
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46XX, deux ovaires.
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Clitoris virilisé parfois développé, quasi
pénien avec hypospadias, parfois scrotum vide, et parfois oblitération
vaginale. Mais les ovaires sont formées, ainsi que les organes
génitaux internes (grossesse possible).
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Effet soit d’une exposition précoce aux androgènes
(tumeur des surrénales de la mère, méthyltestostérone administrée
à la mère dans les années 60 contre les fausses couches, hormones
mâles absorbées dans un but abortif, ou enfin hyperplasie congénitale
des surrénales).
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Dans le cas d'hyperplasie congénitale des surrénales,
sécrétion anormalement élevée de 17-ceto-stéroïdes et présence
de prégnanétriol, un métabolite anormal résultant de l'échec de
la synthèse de l'hydrocortisone.
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Un déficit hormonal spécifique touche la 21-hydroxylase
(lié au complexe d'histocompatibilité HLA-B sur
le chromosome 6, avec fréquence accrue de l'antigène
HLA-BW47 et diminuée de l'antigène HLA-B8). D'où
une masculinisation très forte des organes génitaux externes (les
organes internes se différencient plus tôt dans l'embryon, et
ils échappent donc à cette altération).
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De grands différences entre les individus, et souvent
l’assignation au sexe féminin ne fait pas problème, sauf quand
les sujets sont confondus avec des garçons hypospades avec ectopie
testiculaire.
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Chez certaines filles virilisées, caractère de
"garçons manqués", et aussi désirs bisexuels ou homosexuels.
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Dans plusieurs cas recensés par la littérature
une réassignation sexuelle tardive (11 à 12 ans) a réussi, dans
les deux sexes.
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Aujourd'hui l'administration précoce de cortisone
diminue le nombre de cas observés.
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Démontrerait
aussi l'indépendance du sexe psychique à l'égard des hormones.
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Syndrome
de Debré-Fibiger
- Hyperplasie surrénale virilisante avec déséquilibre
électrolytique (diabète salin).
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De
très graves troubles liés à la déshydratation,
vomissements, diarrhées, de l'hyponatrémie et de
l'hyperkaliémie, mettent la vie en péril. Une erreur
de diagnostic classique est la confusion avec la sténose
du pylore.
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- La fragilité de la santé complique en général
toute prise en charge.
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Syndrome de Denys-Drash
et de Frasier
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46XY (et tout récemment 46XX).
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Ressemblances globales avec le syndrome du
testicule féminisant chez les garçons. Le syndrome de Frasier
produit un phénotype apparent complètement féminin.
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Insuffisance rénale aiguë chez les enfants
des deux sexes. Néphroblastome
à redouter.
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Des recherches génétiques récentes les ont
rattachés tous deux à des lésions spécifiques mais distinctes
du gène WT1.
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Le syndrome de Frasier ainsi redéfini à partir
de la lésion de WT1 a été observé chez des filles.
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Syndrome
de Klinefelter
(Environ
1 sur 500 à 1000? Serait l'anomalie génétique des intersexuels la
plus répandue)
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47XXY, parfois 48XXXY ou 49XXXXY (rarissime).
-
Hermaphrodisme possible, mais anatomiquement,
c'est un mâle. Stérilité (les tubes séminifères sont hyalinisés).
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Hypoplasie testiculaire, petit pénis, souvent
haute taille et membres dégingandés, parfois ébauches de seins
à la puberté, mais souvent aussi apparence normale.
-
On soupçonne
le chromosome X surnuméraire d'être impliqué
dans la surmortalité générale (+50%) des
patients.
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Parfois homosexualité, transvestisme, transsexualisme.
Mais c'est comme groupe, que les Klinefelter sont frappés de désordres
psychiques, sans que ces troubles soient spécifiquement psychosexuels.
-
Leur puissance et leur intérêt pour la sexualité
passe pour faible.
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Parfois déficits cognitifs (c'est statistique,
il y a aussi des individus à QI élevé). Ce sont les difficultés
à maîtriser le langage et les phrases complexes qui posent problème
chez certains enfants. Plus il y a de X, plus ces déficits sont
graves, et corrélés aux problèmes physiques.
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Syndrome de Smith Lemli Opitz
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Chez les garçons, cryptorchidisme, hypospadias
et parfois phénotype extérieur féminisé (ressemblance globale
avec le syndrome du testicule féminisant).
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Nombreuses autres anomalies morphologiques:
oculaires, microcéphalies, syndactylies, et fonctionnelles: respiratoires.
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Etiologie liée à des déficits de la synthèse
du cholestérol.
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- Très souvent graves retard mentaux, mais des formes
légères peuvent passer inaperçues.
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Syndrome de Mayer
Rokitansky Kuster Hauser
(Rare
ou très rare: de 1 sur 5000 à 1 sur 1 million)
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46XX
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Ressemblances globales avec les formes partielles
du syndrome du testicule féminisant chez une femelle génétique:
ni utérus, ni cornes, ni trompes de Fallope, vagin absent ou raccourci,
mais organes génitaux externes normaux. En général, les ovaires
existent.
-
Dans des cas plus rares, il y a aplasie des
canaux mulleriens, un rein ectopique ou même manquant, ou des
anomalies du col de l'utérus.
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Diagnostiqué en général faute de règles.
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Syndrome
de Swyer
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Dysgénésie des gonades chez une femme XY à
cause d'une anomalie
sur le gène Y (mutation de la région SRY dans 30% des très
rares cas connus)
-
Ressemblances morphologiques globales avec
le syndrome du testicule féminisant: les gonades existent sous
forme de reliquats fibreux.
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Quand les trompes et l'utérus sont normaux,
la grossesse est possible par FIV.
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Syndrome de Turner
- 45XO, plus rarement un segment manque sur
un des deux chromosomes X, quelques cas de mosaïques X0/XX.
- Organes génitaux externes féminins, système
interne inachevé (la maladie de Turner est soit l'agénésie soit
la dysgénésie des ovaires).
- Petite taille, bouche "de poisson",
cou élargi.
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Allégations
de déficits cognitifs (développement psychomoteur assez normal).
Maladresse dans les gestes et déficits dans l'orientation spatiale
et la perception des formes parfois observés.
-
Féminité et maternité (adoptive)
sans problème notable.
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Syndrome du syncytium de Sertoli
- Testicules atrophiées, aplasie germinale,
pas de sperme dans l'éjaculat, et peut-être production d’œstrogènes.
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Syndrome
du testicule féminisant: syndrome d'insensibilité/résistance aux androgènes
(1
individu hospitalisé sur 20400 naissances au Danemark en 1992)
- 46XY
-
Apparence en règle générale parfaitement féminine
(sauf l'absence ou la quasi absence d'utérus, et donc de règles)
dans les cas d'insensibilité totale (syndrome de Goldberg-Maxwell
ou de Morris: absence complète de poils pubiens et axillaires).
Hermaphrodisme anatomique dans les formes partielles (syndrome
de Lub, de Reifenstein, de Gilbert-Dreyfus ou de Rosewater), qui
seraient 10 fois moins fréquentes. On dénombre 7 degrés
de féminisation (échelle de Quigley), avec une apparence
masculine au degré 1 (dit syndrome d'Aiman, mais alors, avec souvent
de l'infertilité et/ou une gynécomastie pubertaire).
-
Pas de réceptivité aux androgènes embryonnaires
un peu après la 8ème semaine (phase de différenciation
sexuelle). Les testicules fœtaux inhibent la formation des canaux
de Müller (donc des organes internes féminins), mais le développement
masculin est aussi inhibé.
-
Organes génitaux externes féminins, mais souvent
vagin peu profond, et dans les formes partielles, hypospadias,
voire petit pénis.
-
Les testicules cryptorchides sécrètent des
œstrogènes.
-
Eventualité de cancer si on n'ôte pas les
testicules (mais si on les ôte, ménopause précoce et nécessité
d'hormones exogènes pour prévenir l'ostéoporose). La castration
précoce est discutée.
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Origine familiale, mais aussi sporadique (rare),
due à une anomalie du gène du récepteur aux androgènes
sur le chromosome X de la mère (dans 70% des cas).
|
Chez
les patientes atteintes d'insenibilité complète aux
androgènes:
-
Aucun trait
psychologique du sexe masculin, à la différence du déficit en
5-alpha-réductase (car le cerveau n'a pas été masculinisé ?).
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Hétérosexuelles en général. Pas de prévalence statistique
de l'homosexualité ou de la bisexualité.
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Souvent élancées, la peau non-acnéique d'une consistance
particulière, certaines patientes ont eu des carrières de mannequins.
-
Demandent parfois un allongement chirurgical du
vagin, mais il existe des techniques de dilatation.
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Dans les formes frustes, la taille du pénis (à
peine distinct d'un clitoris) fait souvent préférer la chirurgie
féminisante à la naissance.
-
Les patients atteints d'insensibilité aux androgènes
(SIA) adoptent souvent l'identité sexuelle dans laquelle on les
élève, même les filles à pénis et les garçons qui n'en ont quasiment
pas. C'est le cas-type d'indépendance des sexes physique et psychique.
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L'annonce du sexe chromosomique et l'explication
des anomalies génitales exige un suivi psychologique: en général,
le sexe révélé par les chromosomes importe bien moins aux patients
que l'isolement social et l'angoisse de l'anormalité morphologique.
-
Chez
les patients d'apparence masculine, on note souvent des troubles
discrets non de l'identité sexuelle, mais de la virilisation
à la puberté, liés aux anomalies plus ou
moins importantes des organes génitaux. Leur évolution
est considérée comme difficile.
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Syndrome du XXX
(très
rare, mais on ignore combien ne sont pas diagnostiqués)
-
Morphotype féminin habituel (avec grossesse
possible).
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Développement statural spécifique, avec des
anomalies du développement de la boîte cranienne.
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- Parfois des déficits cognitifs.
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Syndrome du XYY, syndrome
du XXYY
(Le
syndrome du double Y est très rarement identifié, donc les généralisations
sont suspectes; on cite parfois 1 naissance sur 850)
-
Morphotype mâle à taille élancée dans les
cas observés.
-
Dans les cas de XXYY, le morphotype est beaucoup
plus dégradé, mais les signes sont extrêmement variables.
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Identifiés en 1965 dans la population carcérale,
on leur a attribué une propension à l'agression et aux comportements
impulsifs. Peu confirmé.
-
Leur histoire fait parfois suspecter des troubles
de la personnalité ou une psychose.
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Prévalence de nombreux troubles divers de
la sexualité, avec perversions, dans le petit échantillon observé.
-
Il convient d'être prudent sur tous les corrélats
psychiques, qui sont sans doute liés dans bien des cas aux difformités
physiques.
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Exstrophie
cloacale
(peut-être
1 sur 400000 naissances)
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46XY
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Association
d’omphalocèle, de syndrome de l’intestin court, d’exstrophie vésicale,
d’agénésie pénienne ou de développement très déficient du pénis.
Mais la sécrétion d’androgènes in utero est normale.
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Ces
patients subissent en général une castration.
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Une
enquête de 2004 à Johns Hopkins (sur 14 cas) a trouvé que ces
patients, élevés en fille après la chirurgie par leurs parents,
ses considèrent néanmoins souvent (8 sur 14) comme des garçons,
relançant la polémique sur le déterminisme biologique ou culturel.
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Femmes 46XY pour des raisons encore mal ou pas connues
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Stérilité.
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A la différence des cas où le SRY est muté
ou délété, ce seraient ici d'autres facteurs
génétiques qui seraient en cause: un gène TDA (Testis Determining
Autosomal), et peut-être un autre, TDX (Testis Determining X).
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Dans certains cas extrêmement rares, on a
pu montrer que l'existence d'une copie anormale, car supplémentaire,
du gène DAX1, bloquait le mécanisme régulé par le gène SRY; l'embryon
est alors femelle, mais le caryotype est mâle. Ce fait serait
lié à la surexpression du gène WNT4 (hypothèse formulée
à partir d'un cas unique).
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Hommes 46XX pour des raisons encore inconnues
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Ces cas sont énigmatiques quand la région
du chromosome X qui détermine la formation des testicules (SRY)
n'est pas présente. On a imaginé qu'un gène encore inconnu, Z,
serait chargé d'inactiver l'expression des gènes de la masculinité,
et que ce gène serait lui-même inactivé par le gène SRY. Mais
ce modèle serait contraire à la thèse de Jost qui fait de l'ovaire
la glande sexuelle par défaut.
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Une hypothèse
récente à confirmer est qu'un gène
muté RSPO1 déclenche
l'activation du gène SOX9, lequel est un relai essentiel
dans le développement des organes génitaux, et qui
est, normalement activé par SRY.
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Autres
formes d'intersexualité rares
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